Selon une adaptation biaisée et basée sur le conte de trois petits cochons prolétaires et d’un grand méchant loup capitaliste. Cependant toute ressemblance avec des faits existants ou des personnages réels ne serait qu’une pure coïncidence fortuite (une fiction ?) dont nous nous garderons bien d’endosser la responsabilité, totale ou partielle...
Autrement dit : l’entrée en matière des sodomites dans le village de Gomorrhe… (Comprend qui le peut à l’OPUS DEI)
Il était donc, une fois encore, l’histoire habituelle et tristement célèbre de trois petits cochons (la liste est cependant non exhaustive à ce jour) qui vivaient avec leur maman dans la… Confiture. Comprenez par là, dans une petite chaumière écologique au centre de la républicaine ferme des animaux gouvernables à la George Orwell, pas très loin d’une forêt représentative de chênes démocratiques (une espèce protégée selon des conventions) où se cachaient des lutins et autres trolls (qui en l’espèce, eux étaient des êtres non protégés par les mêmes conventions).
Un jour, la mère, surnommée Providence par certaines de ses amies, appela ses porcelets à son chevet social pour leur dire qu’elle ne pouvait plus les élever, ni les nourrir, ni les héberger, parce qu’elle était économiquement trop pauvre : « Je voudrais que vous partiez d’ici et construisiez votre propre maison, dit-elle, mais prenez garde qu’elle soit bien solide pour que le grand méchant loup ne puisse y entrer et vous manger. »
La truie embrassa tendrement ses petits, leur dit au revoir les larmes aux yeux, subissant elle-même, le lourd fardeau de la crise sociale et économique, accompagné de surcroit de l’éclatement familial ainsi décrété par Dame Nature...
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