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Les partisans du oui lavage de cerveau au niveau européen
envoyé le 25/04/05 par non a la constitution Mots-clés  europe   2005  

Il est sûr que si Lionel Jospin avait été capitaine du Titanic il n’y aurait pas eu beaucoup de survivants

Quand au fait que les sbires du PS crache sur Jaurès, c’est pas étonnant. Ils sont tous pour faire du capitalisme social. Ils se sont tous alignés sur la "Nouvelle Société" de Chaban Delmas.

CE SONT LES "NOUVEAUX GAULLISTES DE GAUCHE".

Ces déclarations qui suivent parlent d’elles-mêmes. Matraquage politico-médiatique et chantage. Le "lepénisé" de 2002, auteur d’un paquet de lois et mesures antisociales et antipopulaires notamment en 2001, qui revient à la charge comme si rien n’était. Raffarin qui ne fait preuve du moindre respect de ses fonctions pas plus de de "ses" citoyens qu’il n’hésite pas à dénigrer à l’étranger. Des chefs d’état étrangers qui nous submergent de leurs déclarations nous menaçant de "faire l’Europe sans nous"... enfin Prodi qui voudrait "sauver la France". malgré elle e malgré nous

Plus les déclarations mensongères et mystificatrices des Badinter, Delanoë qui va jusqu’à amalgamer le NON avec l’extrême-droite, Lipietz, la direction des Verts, etc.

Quel mépris du peuple français, des peuples européens, des peuples du monde.Mais la réalité est que toutes ces "élites" parasitaires ont très peur. Carelles savent que le NON en France ne serait que le début d’un réveil général,et que leur "soupe des élites" est en danger.

UNE SEULE ATTITUDE DIGNE : SANCTIONNER CES CHARLATANS PAR UN NON INFLEXIBLE ET MASSIF.

Quelques extraits de la propagande des partisans du oui au niveau européens nous noterons qu’aucun de ces partis " socialistes " n’ont jamais prononcé une seule les mot Social dans leurs bouches et leur déclarations et de ses " analyses " vu par les médias dominants et les " journalistes " aux ordres et a la bote

Dimanche 24 Avril 2005
AFP Référendum : Lionel Jospin rappelle à l’ordre les socialistes

L’ex-Premier ministre Lionel Jospin a admonesté sans détour ses camarades du PS qui font campagne pour le non au référendum sur la Constitution européenne, en les accusant samedi de mettre en cause "l’unité" du parti et de manquer à "la discipline".

Au deuxième jour du colloque organisé par le PS pour fêter son centenaire, Lionel Jospin, qui prenait la parole publiquement pour la première fois dans la campagne sur le traité constitutionnel européen, a rappelé sèchement les "règles communes" du parti, dont il fut longtemps le premier secrétaire.

Il visait ainsi clairement les dirigeants du PS qui continuent à faire campagne pour le non comme Henri Emmanuelli, Jean-Luc Mélenchon, tandis que Laurent Fabius, numéro 2 du parti et absent de la réunion, rappelle à chaque occasion ses "convictions" anti-traité.

A l’inverse, il a "félicité" ceux des camarades qui, favorables au non,ont choisi de s’abstenir de toute campagne, essentiellement le Nouveau > Parti socialiste (NPS) de Vincent Peillon et Arnaud Montebourg.

Pour le "retraité" Jospin —il avait annoncé son retrait de la vie politique après son échec à la présidentielle de 2002—, "il en va du respect des militants, de la cohérence du parti, de l’idée même de la démocratie, qui implique le pluralisme mais repose sur le respect de la majorité". "Je le dis pour des raisons de principe, je le dis quels que soient les choix politiques d’aujourd’hui ou de demain", a-t-il insisté.

Très applaudi, Lionel Jospin a réaffirmé son oui au référendum, comme celui des militants qui se sont prononcés le 1er décembre. "Je souhaite la victoire du oui dans le pays et je plaiderai pour le oui", a-t-il dit, avant son intervention à la télévision jeudi sur France 2.

S’exprimant à l’unisson, le premier secrétaire François Hollande a appelé les socialistes à manifester leur "unité" dans la perspective de la bataille pour l’élection présidentielle de 2007. "L’unité des socialistes est toujours la condition du rassemblement de la gauche, et le rassemblement de la gauche est la condition d’une victoire pour l’alternance", a-t-il affirmé.

Il a fait valoir que "l’unité se construit toujours autour d’une dynamique majoritaire". "La division à l’intérieur de nous-mêmes crée la suspicion à l’extérieur et fractionne", a mis en garde le numéro un socialiste.

"A chaque fois que le PS a jeté le trouble par ses controverses sur la pertinence de sa propre ligne, il a donné prise à ses concurrents à gauche, c’est ainsi que nous avons été écartés du pouvoir", a-t-il ajouté.

Alors que Lionel Jospin dramatisait la fracture au PS en soulignant que le non respect du vote des militants était "sans précédent depuis le congrès d’Epinay" (1971), François Hollande a relativisé en rappelant d’autres épisodes mouvementés de la vie du parti, comme l’affrontement entre Jean Jaurès et Jules Guesde.

Invitant ses camarades à assumer sa fonction de "parti de gouvernement", il leur a demandé d’écarter "toute tentation protestataire" qui "nous"éloigne du rôle qui doit être le nôtre, changer le cours des choses"."C’est en étant nous-mêmes que nous sommes le plus fidèle à notre électorat", a-t-il affirmé, "le compromis avec le réel n’est pas la compromission avec l’idéal".

La salle a réservé une longue ovation à l’ex-Garde des sceaux Robert Badinter qui avait demandé à ses camarades de "ne jamais céder aux tentations ou aux infléchissements" dans leur combat pour leur idéal de justice et de solidarité. "Ne mollissons pas", a-t-il lancé.

samedi 23 avril 2005, 12h48

Le PS en crise fête le centenaire de la SFIO

PARIS (- Le Parti socialiste fête ce week-end le centenaire deSection française de l’Internationale ouvrière (SFIO) dans un climat terni par les déchirements entre partisans du "oui" et du "non" au référendum européen.

Le PS a choisi de se donner cent ans en fixant sa naissance au congrès fondateur de la SFIO en 1905, ce qui lui donne une image de durée, mais les historiens sont réservés sur cette continuité compte tenu de la multiplicité des fractures et scissions au sein du courant socialiste.

Le Premier secrétaire du PS, François Hollande, s’est efforcé de minimiser la portée de la crise au sein du parti, soulignant que la plupart de ses leaders, qu’ils soient pour le "oui" ou le "non" au référendum du 29 mai, célèbrent ce week-end l’unité de la famille socialiste.

Vu par libérachions le " journal " des bobos et des start eupes

Dans Libération, l’historien Jean-Jacques Becker a récemment souligné que la scission était "un fait permanent de la réalité du mouvement socialiste ".

"La scission par excellence demeure celle de décembre 1920, lorsque lam ajorité communiste expulse la minorité socialiste. Le PS en a connu d’autres : dans les années 30, entre les socialistes fidèles à Léon Blum et les ’néo socialistes’ de Marcel Déat. Dans les années 50, lorsque la politique algérienne de Guy Mollet a provoqué le départ d’une fraction qui créa le PSA, puis le PSU", explique-t-il.

L’article 1 de la SFIO définit en 1905 le nouveau parti comme "un parti de classe pour la conquête du pouvoir et la socialisation des moyens de production et d’échange, c’est-à-dire la transformation de la société capitaliste en une société collectiviste ou communiste".

Ses parrains se nomment alors Jean Jaurès, Jules Guesde ou Édouard Vaillant.

Mais au congrès de Tours de 1920, une minorité s’oppose aux trois quarts des congressistes qui prônent l’adhésion à la IIIe Internationale et au modèle "bolchevique", et quittent la SFIO pour créer le Parti communiste français.

Léon Blum, minoritaire pour avoir refusé l’adhésion, lance à ses camarades : "Pendant que vous irez courir l’aventure, il faut que quelqu’un reste garder la vieille maison."

"UN IDEAL QUI N’EXISTE PAS"

Blum porte cette "vieille maison" au pouvoir en 1936 avec la victoire duFront populaire mais le parti manque de disparaître en juillet 1940 lorsque la majorité de ses députés votent les pleins pouvoirs à Pétain.

Pour Jean-Jacques Becker, les divisions actuelles des socialistes sur le traité constitutionnel européen rappellent surtout la controverse sur le projet de la Communauté européenne de défense (CED).

"L’argumentaire du non à la CED en 1954 (le refus du réarmement de l’Allemagne) n’a rien à voir avec celui du non à la Constitution. Mais, à l’époque, la moitié du groupe parlementaire s’opposa à la CED. La direction leur a laissé toute latitude de s’exprimer et de voter contre", dit-il.

L’autre point commun, "c’est qu’il y a toujours une fraction du PS qui se manifeste contre ’l’Europe du moment’ au nom d’un idéal d’Europe qui n’existe pas", ajoute l’historien.

Dans L’Humanité, l’historien Roger Martelli, membre du Conseil national du PCF, juge difficile de parler de continuité et imagine mal Jean Jaurès, l’homme de la "continuité révolutionnaire", "cautionnant aujourd’hui toutes les reculades sociales-libérales".

Il estime que le PS actuel, créé sous l’impulsion de l’ex-présidentFrançois Mitterrand, s’est engagé dans une "véritable pédagogie du renoncement" par des "abandons successifs" à partir de 1982-1983.

A Epinay, en 1971, François Mitterrand s’était allié au Ceres de Jean-Pierre Chevènement pour renverser les anciens de la SFIO conduits par Guy Mollet et fonder le "nouveau Parti socialiste", qui prône la stratégie "d’union de la gauche".

"Celui qui n’accepte pas la rupture avec la société capitaliste, celui-là ne peut être adhérent au Parti socialiste", déclare alors le futur président de la République.

Plusieurs proches de François Mitterrand ont confié depuis qu’il s’agissait de propos de campagne qui ne réflétaient pas véritablement son état d’esprit.

Prié de dire si le PS actuel peut être qualifié de parti réformiste de gauche, Roger Martelli répond : "Il a abandonné les rives classiques de la social-démocratie et est, en pratique, tenté plutôt par une lecture bien affadie du socialisme de type social-libéral. Je ne vois pas, à ce jeu, où est le réformisme de gauche."

samedi 23 avril 2005, 11h52

Jean-Pierre Raffarin met en garde contre le désordre d’un "non" au tour de la droite d’agiter l’épouvantail du Non et du " vote de raison " il est vrai que celui-ci doit être très soucieux pour son poste après le 29 mai

SHANGHAI - Jean-Pierre Raffarin a mis en garde à Shanghai contre une victoire du "non" à la Constitution européenne, qui serait synonyme de "désordre" et engendrerait un retard de "plus d’une dizaine d’années".

"Le ’oui’ porte un projet, et le ’non’ porte un désordre", a-t-il déclaré lors d’un dialogue avec des étudiants de l’université de la capitale économique chinoise.

En réponse à une question sur la montée du "non" dans les sondages en France, Jean-Pierre Raffarin a répondu qu’un rejet du traité constitutionnel européen provoquerait un retard de "plus d’une dizaine d’années", le temps de "rebâtir un texte qui puisse obtenir l’accord de 25 gouvernements".

Cette "panne" conduirait l’Europe à "se refermer sur elle-même, à se tirailler dans des projets internes, alors qu’on l’attend sur la scène internationale", a-t-il ajouté, au troisième jour de sa visite officielle en Chine.

Un exemplaire de la Constitution en main, Jean-Pierre Raffarin a expliqué, à 8.000 kilomètres de la France, qu’il ne s’agissait pas là d’"un texte politique" mais d’une "règle du jeu".

Dans son discours prononcé peu avant devant les étudiants réunis dans un luxueux amphithéâtre décoré d’une banderole lui souhaitant la bienvenue,le Premier ministre français avait également évoqué à demi-mots le scrutin du 29 mai, affirmant qu’un "’oui’ de la Chine à plus d’ouvertue au monde" appelait "un ’oui’ de la France à plus de construction européenne".

Le référendum français s’était déjà invité en Chine jeudi à l’occasion d’un discours du chef du gouvernement à l’ambassade de France. Au jour du troisième anniversaire du 21 avril 2002, date du premier tour de l’élection présidentielle française, Jean-Pierre Raffarin avait lan un "appel" à voter le 29 mai pour un scrutin dont le résultat s’annonce "évidemment serré".

Canard Laqué et grosse raffarinades en chine

C’est aussi à l’Europe qu’était consacré samedi le discours de l’université de Shanghai. Jean-Pierre Raffarin a été accueilli en héros - avec orchestre, banderoles et parterres de fleurs en forme de drapeau français et chinois - sur le campus arboré où travaillent 45.000 étudiants et chercheurs.

"L’Europe souhaite accompagner la Chine pour relever les grands défis de son émergence", a dit Jean-Pierre Raffarin, invitant le Vieux continent à prendre exemple sur la "sagesse chinoise" et la Chine à travailler aux côtés des 25 pour la paix et le respect du droit international.

Un Airbus sur six est aujourd’hui vendu à la Chine, a aussi rappelé le Premier ministre, deux jours après la signature à Pékin de contrats d’achat de 30 avions européens par trois compagnies chinoises.

Les questions économiques étaient également à l’affiche lors du déjeuner qui a ensuite réuni des chefs d’entreprises chinois et la trentaine de grands patrons accompagnant le Premier ministre dans son périple chinois.

Et raffarin de geindre en serrant ses poings

"Je vous demande de bien regarder la France !", leur a dit Jean-Pierre Raffarin. "C’est une porte de choix pour aborder l’Europe et ses 450 millions de consommateurs."

Dans ses exemples de réussite des entrepreneurs français en Chine, le chef du gouvernement a surpris ses convives en déclarant que les artistes chinois peignaient "avec des ’couleurs’ fabriquées à Marseille" et que les canards qui servent à préparer le canard laqué étaient "le résultat d’une sélection génétique française".

Au dernier jour de sa visite, le Premier ministre n’a pas manqué de remercier ses hôtes de lui avoir fait un cadeau très personnel : une chanson de Johnny Hallyday, son chanteur préféré, interprétée par un orchestre militaire lors d’un dîner officiel jeudi soir.

samedi 23 avril 2005, 21h09

"La France ne réalise pas la chance qu’elle a avec l’Europe", estime le " socialiste " Romano Prodi

PARIS - L’ancien président de la Commission européenne et actuel chef de la coalition de gauche italienne, Romano Prodi estime dans un entretien publié dans "Le Journal du Dimanche" que "la France ne réalise pas la chance qu’elle a avec l’Europe".

Un "non" de la France au référendum sur le traité constitutionnel européen du 29 mai "serait catastrophique pour l’Europe sociale et économique, pas seulement pour l’Europe politique", déclare-t-il dans un entretien accordé au JDD.

Pour le responsable italien, "c’est là toute la contradiction" : "tout le monde sait très bien qu’il n’y a pas d’Europe sans la France, or la France ne réalise pas la chance qu’elle a avec l’Europe. "Elle doit donc réfléchir, car seule elle sera très faible", souligne-t-il.

Sur le plan de la politique internationale, "le rôle de la France sera nul, s’il n’y a pas l’Europe", avertit Romano Prodi, tandis que sur le plan économique, l’avenir "sera beaucoup plus difficile sans l’Europe".

"Si la Chine dormait, parfait, mais elle est réveillée, et la France,l’Allemagne ou l’Italie ne peuvent rien seules !", lance-t-il, prédisant "une grande période de crise" et "la chute de l’Europe" si le "non" l’emporte en France.

Interrogé sur la Constitution, l’ex-président de la Commission européenne reconnaît qu’elle "n’est pas parfaite, mais c’est la meilleure possible à ce jour".

"Moi aussi, j’ai cherché à avoir une constitution plus avancée, avec moins d’unanimité, avec une politique sociale plus forte, mais ce que nous avons obtenu était le maximum possible", dit-t-il, avant de conclure : l’Europe "est la seule grande innovation politique pour sauver nos pays".

samedi 23 avril 2005, 17h00 les partisans du Oui européens nous " exortent " a le voter pourquoi ne nous en donneraient t’ils pas l’ordre pendant qu’ils en sont

Constitution européenne : les présidents finlandais, autrichien,portugais et letton exhortent les Français à dire "oui"

HELSINKI, Finlande Les présidents de Finlande, d’Autriche, du Portugal et de Lettonie ont exhorté samedi les électeurs français à dire "oui" à la Constitution européenne, en insistant sur le fait que ce traité constituait une étape importante pour l’intégration du bloc et une garantie de stabilité.

Faisant référence au référendum organisé en France le 29 mai, ces quatre présidents, réunis à Helsinki, ont affirmé que la Constitution européenne n’était pas une question interne à la France, mais une "question européenne".

"Nous sommes tous d’accord sur le fait que la ratification de la Constitution européenne est très importante", a déclaré le président autrichien Heinz Fischer. "Ce n’est pas bon pour l’Europe si nous avons des problèmes dans ce domaine".

Ces présidents s’exprimaient au terme de deux jours de réunions informelles dans la capitale finlandaise pour discuter de questions à caractère régional, de la mondialisation, de l’Union européenne et de ses voisins. Le président allemand Horst Köhler y a participé vendredi, mais a écourté sa visite pour participer aux cérémonies liées à l’élection du nouveau pape Benoît XVI.

Le président portugais Jorge Sampaio, qui avait été à l’initiative de la première rencontre de ce genre en 2003 entre six dirigeants européens, a affirmé que le processus de ratification de la Constitution européenne devrait continuer dans les Etats membres, même si le camp du "non" l’emporte en France.

"Nous ne devons pas arrêter le processus dans chaque pays à cause d’un résultat", a déclaré Jorge Sampaio. "Quel que soit le résultat (...)

nous devons poursuivre le processus de ratification". La présidente lettone, dont le pays a rejoint l’UE il y a un an, a mis en avant "un aspect plus immédiat et plus pratique" du traité concernantl’euro. "Les marchés commencent déjà à être nerveux par rapport à l’avenir de l’euro", a déclaré la présidente Vaira Vike-Freiberga.

"La Lettonie, en tant que pays prévoyant d’adopter l’euro le 1er janvier 2008, est bien sûr préoccupée par tout ce qui risque d’affaiblir oufaire perdre de la solidité à cette monnaie", a-t-elle ajouté.

La présidente finlandaise Tarja Halonen, qui accueillait la rencontre, était moins perturbé par une éventuelle victoire du "non" en France. "Il est bon de rappeler que des parties très importantes de ce traité sont basées sur des traités qui existent", a-t-elle affirmé. "Naturellement, la vie va continuer (si les électeurs français disent ’non’), mais lavie serait beaucoup mieux si le traité constitutionnel est accepté". sic

LE 29 MAI ENVOYONS A CETTE OLIGARCHIE UN NON FRANC ET MASSIF


envoyé le 25 avril 2005  par non a la constitution  Alerter le collectif de modération à propos de la publication de cet article. Imprimer l'article
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