Les exilés font une chaine symbolique devant l’entrée du hangar : "frontière" de protection.
Quelques coups sont échangés. Ils sont déterminés à ne plus le laisser humiliés, bastonnés, par les flics. Mais la tension monte, les Exilés n’ont pas pu rejoindre la distribution de
repas, car ils ne pourront plus revenir.
La solution est simple : hangar privé, mais ils isolent les exilés, sans nourriture.
Les NO.BORDER ont redit QUE CE HANGAR N’EST PAS UN LIEU D’HÉBERGEMENT.
LIBERTÉ DE CIRCULATION !