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Province Iranienne du Khuzestân témoignage à propos des violences et des tortures subies par les prisonniers politiques Arabes Ahwazis par Rahim Hamid.
envoyé le 10/12/15 Mots-clés  antifascisme   anti impérialisme   proche et moyen orient   racisme  

2 et 7 Décembre nouvelles qui nous sont parvenues via le site d’opposition Arabe Ahwazi au régime des Mollahs, du Democratic Solidarity Party of Al Ahwaz citant un rapport publié sur le site du Daily Telegraph : Témoignage d’un militant Arabe Ahwazi Iranien Rahim Hamid, violé, battu, torturé et maltraité – simplement pour ses désirs à vivre dans une province d’Iran où il y aurait plus d’égalité et de liberté.

- Le rush d’informations sur le récent accord nucléaire conclu avec l’Iran a laissé et mis à l’écart toutes les questions relatives aux atteintes aux droits humains dans ce pays. Peu de gens en Occident semblent s’en soucier et veulent juste s’assurer que Téhéran ne développe pas de plus grandes capacités nucléaires. Cet objectif est compréhensible, mais il laisse peu d’espoir et aucun répit aux prisonniers politiques victimes de tortures et aux minorités ethniques persécutées en Iran.

Téhéran nie toujours ses atteintes quotidiennes aux droits de l’homme et cherche à détourner les critiques en pointant du doigt les abus commis par certains pays occidentaux. Dernièrement le « Guide suprême » de l’Iran, l’ayatollah Ali Khamenei, a accusé les États-Unis d’opprimer sa communauté noire. D’autres dirigeants politiques et des intellectuels occidentaux ont même été jusqu’à dire que contrairement à l’Occident l’iran « Ne pratiquerait pas de discriminations raciales » Pourtant en tant que victime du racisme anti- Arabe en Iran, je peux affirmer faire la différence de toutes ces informations et de toutes ces déclarations.

Je fais partie de la minorité ethnique Arabe d’Iran, connue sous le nom de minorité Arabe Ahwazie. Notre patrie et riche en pétrole et en ressources agricoles, ma région l’Al-Ahwaz, fait maintenant partie du Sud-ouest de l’Iran, elle avait été annexé par Téhéran en 1925 et rebaptisée depuis Province du Khuzestân par les différents régimes qui se sont succédé en Iran depuis lors.

Au cours des années qui ont précédées le soulèvement et l’intifada Arabe Ahwazie de l’année 2005 contre l’occupation iranienne de la province de l’Al-Ahwaz, le régime de Téhéran a multiplié les vagues massives d’arrestations arbitraires, dans la province Khuzestân ont estime que depuis 2005 plus de 25 000 militants politiques défenseurs des droits humains et des droits civils ont fini dans les geôles du régime de Téhéran. En Octobre 2008, la police Iranienne est venue me chercher chez moi. J’étais alors un jeune marié âgé de 22 ans, vivant dans ma ville natale de Khalafiya située dans la province de l’Al-Ahwaz (Ou Province du Khuzestan) qui étudiait dans l’Université Azad dans la ville d’Abadan pour devenir traducteur d’Anglais.

Les responsables des autorités administratives de l’Université Azad m’avait signalé aux services de sécurité du Ministère des Renseignements, après que j’ai été à l’origine de la création d’un groupe d’étudiants chargé de sensibilisation à la Culture Arabe Ahwazie qui a été interdit et dissous par la suite. Cela a été considéré comme une menace par les Agents des forces répressives du régime. Ils m’ont ensuite accusé : « d’Atteintes à la sécurité nationale », de « Propagande anti-gouvernementale », […] « d’Activisme contre le régime et incitation à la propagation de sentiments sécessionnistes ».

J’ai été ensuite incarcéré sans avoir fait l’objet d’un procès et placé en cellule d’isolement dans la Section numéro six de l’infâme prison de Sepidar, où j’ai enduré plus de deux mois de mauvais traitements et de tortures incessantes. Seule la solidarité et la fraternité de mes camarades militants et de mes compagnons de cellule m’a donné la force intérieure de ne pas tout abandonner et de ne pas craquer. Ma cellule était humide et étroite, elle mesurait à peine 2,5 mètre de long sur 1,5 mètre de haut. Les murs étaient peints d’un rouge violent, probablement pour agir comme un camouflage quand le sang des prisonniers coulait dans ces cellules. La « fenêtre » de ma celle-ci quant à elle n’était qu’une fente étroite à travers laquelle la lumière du soleil ne pénétrait qu’aux premières heures de la matinée.

Jour et nuit je pouvais entendre les cris et les pleurs de mes codétenus – hommes, femmes et enfants – qui étaient incarcérés et torturés à la même période où j’étais détenu parmi eux. La norme pour les gardes était d’infliger, le plus possible de cruautés gratuites et de privations quotidiennes de toutes sortes, comme par exemple l’interdiction faites à certains détenus d’avoir accès aux toilettes, de sorte qu’ils étaient obligés d’uriner dans leurs cellules qui se mettaient à puer jusqu’à la nausée, particulièrement pendant les chaleurs estivales de l’été.

Parmi les autres formes de tortures physiques que j’ai subies, j’étais souvent attaché par les poignets et les chevilles sur le cadre d’un lit métallique avant d’être sauvagement fouetté. Si je résistais les gardes me couvraient d’insultes pour prolonger leurs tortures psychologiques. à plusieurs reprises Ils m’ont violé à l’aide d’un manche de fouet avec une telle brutalité que je souffre toujours de douleurs permanentes au rectum, pour lesquelles je dois encore suivre de longs traitements médicaux. Pendant ces séances de tortures, mes « interrogateurs » ont essayé plusieurs fois de m’extorques de force des « aveux », pour m’obliger à déclarer que j’étais impliqué dans des actions séditieuses avec des partis politiques Arabes Ahwazis basés et financés selon-eux par des pays ennemis de l’Iran – Une accusation que je toujours niée, car elle était totalement fausse, ces abus physique et ces tortures et étaient toujours accompagnées de nombreuses formes de tortures psychologiques consistant à m’abreuver d’insultes et d’invectives racistes anti Arabes visant à tenter de me rabaisser, de m’humilier et de me briser.

Une autre fois un garde est entré dans ma cellule avec un magnétophone enregistreur, il l’a enclenché et m’a fait entendre un enregistrement ou l’on pouvait entendre des femmes hurlant à l’agonie en me disant « Voilà les cris de ta sœur quand elle nous donne du plaisir, parce que comme toi ce n’est qu’une salope comme tous les connards d’Arabes de ton genre » comme je lui ai répondu en le maudissant, en réponse il a appelé d’autre gardiens qui ont fait irruption dans la cellule, ils m’ont éjecté dans le couloir où il m’ont mis à nu, j’ai été encore battu et ils ont ensuite brulé mes plantes de pieds et mes parties génitales avec des cigarettes. Une autre fois ils m’ont suspendu à un ventilateur les mains menottées derrière le dos, ils m’ont ensuite battu à coup de ceintures jusqu’à ce que je perde conscience quand je suis revenu à moi j’avais des bleus et des contusions sur toutes les parties de mon corps. Dans ma cellule pour me faire oublier la peur, la faim, leurs tortures et leurs violences verbales, je lisais tous les graffitis gravés sur les murs par les détenus qui avaient été enfermés avant moi ici et qui disaient : « Ne paniquez pas notre souffrance ne peut pas être plus forte que celle qu’a subie Allah le tout puissant » […] « Je suis Innocent et je serais bientôt pendu ». Un père désespéré avait écrit : « Mon cher fils toi aussi un jour tu seras la comme ton père, car c’est là le sort qu’ils réservent à tous les Ahwazis ».

La privation de sommeil était aussi une des formes courantes des tortures psychologiques utilisées contre les prisonniers politiques Ahwazis, j’y ai été intensément soumis, en plus des refus fréquents du droit à pouvoir se laver dans les douches. La chaleur, les conditions d’hygiène innommables et l’absence de ventilation dans nos cellules, causaient pour nous autres détenus de Sepidar des invasions de poux jusque dans les régions de l’aine. Les infections dues à la gale étaient aussi répandues parmi les prisonniers. Après avoir passé seulement quatre jours dans une de ces cellules, j’étais obligé de me gratter parfois jusqu’au sang pour tenter de soulager les incessantes et douloureuses démangeaisons que j’avais sur tout le corps.

Contrairement à de nombreux autres détenus Ahwazis j’ai eu plus de chance. J’ai été finalement libéré moyennant une caution de 400 millions de Rials (Environ 13 000 $), principalement en raison de la grave détérioration de mon état de santé. Deux jours après ma sortie de prison j’ai perdu connaissance chez moi, et j’ai été transporté à l’Hôpital de la ville d’Ahwaz, où j’ai dû subir une intervention chirurgicale d’urgence à cause de toutes les ruptures de mon rectum causées par les multiples viols que j’avais subi de la part des gardiens. Depuis lors j’ai subi quatre autres opérations des intestins et du sphincter, les trois premières à l’Hôpital Razi de la ville d’Ahwaz et la dernière à l’Hôpital Servergazi en Turquie. Les dommages qui ont été causé aux muscles de mes intestins à cause de ces viols, ne m’ont heureusement pas causé pour le moment de graves problèmes d’incontinences. Et cela malgré la dernière opération chirurgicale que j’ai subie qui a conduit à l’ablation d’une grande partie de mon gros intestin. Cependant je souffre toujours de douleurs constantes au ventre, de graves problèmes digestifs et de vomissement fréquents.

Lors de mon arrivée en prison je pesais 70 Kg, je n’en pèse plus que 54 aujourd’hui, je suis maintenant un homme brisé et mutilé qui aura besoin pendant des années d’aller chaque semaine chez le médecin.Mon procès qui avait commencé au début de l’année 2009, avait été reporté en raison de ma mauvaise santé. Mon avocat, M.Hosseini Manesh, avait pu obtenir la suspension de la procédure et négocier pour moi le droit de terminer mes études universitaires. Cependant ça n’a jamais voulu dire que l’instruction et que mon dossier d’accusation avaient été clos. Mes problèmes graves de santé signifiaient pour moi que je ne pouvais pas retourner à l’université pendant de nombreux mois et ce n’est que péniblement que j’ai pu obtenir mon diplôme en 2011. Craignant une nouvelle arrestation, j’avais renoncé durant toute cette période à tout activisme politique et culturel. Le régime n’avait pas seulement mutilé mon corps mais il avait aussi détruit tous mes plans de carrière. Mon dossier judiciaire et le fait que je sois fiché en tant qu’activiste culturel Arabe Ahwazi et en tant que militant défenseur des droit humains, signifiait pour moi que j’aurais été incapable d’obtenir le moindre emploi en Iran.

En 2011, je me suis senti obligé de reprendre mes activités culturelles et militantes pacifiques, suite aux arrestations de six autres militants Arabes Ahwazis liés à l’association culturelle Al –Hiwar, cette organisation visait à sensibiliser la jeunesse de la province du Khuzestân à la culture traditionnelle Arabe Ahwazie, en organisant des évènements culturels et des cours privés de poésie et d’enseignements de la langue Arabe.

Ces six militants étaient largement respectés et reconnus dans notre communauté Ahwazie, certains d’entre eux étaient d’anciens professeurs avec qui j’avais étudié. Ils ont tous été condamnés à mort pour des accusations mensongères « d’Actes de terrorisme » à la suite de procès inéquitables. Par la suite trois d’entre eux ont vu leurs peines de morts commuées en des peines de 20 de prison et un Quatrième à vu sa peine initiale commuée en une peine d’emprisonnement à vie. Les deux derniers condamnés de ce groupe Hadi Rashedi *1 qui était mon ancien professeur de littérature Arabe, et Hashem Shabani *2 un célèbre écrivain et poète local, ont été exécutés en 2014. Le régime les avaient condamnés à mort après les avoir accusé de « Propagande contre le régime en vue de porter atteinte à la sécurité nationale » d’actes de Mufsid-fil-Arz ou « Propagation de la corruption sur terre » (En persan) et d’être des « Moharebeh » – c’est-à-dire d’être des : « Ennemis de dieu et en guerre contre celui-ci » selon la loi Iranienne –Ndr

En raison de mon soutien à ces hommes et à la cause de la défense des droits de l’homme des minorités Ahwazies, je fus durant cette période constamment surveillé par les Agents du Ministère des Renseignements à la solde du régime. Ils m’ont fait subir une pression psychologique implacable durant plusieurs mois, cherchant le moindre prétexte pour m’emprisonner à nouveau. Ils m’ont aussi bombardé d’appels téléphoniques « Anonymes » avec l’aide de numéros cachés afin de m’intimider.

Quelque temps après je fus à nouveau convoqué au siège local du Ministère des Renseignements dans la localité de Romhormoz. Une fois sur place j’ai été interrogé pendant neuf heure d’affilée, durant tout cet interrogatoire ils ont fait usage des pires clichés racistes et anti-Arabes, j’ai du subir des insultes telles-que : « Arabe mangeur de lézards », « Buveur de lait de chameau », « Parasite et bâtard d’Arabe », ils n’ont pas non plus épargné ma mère et ma sœur qu’ils ont traité de « Putes ». Ils m’ont la encore battu, giflé et jeté par terre à plusieurs reprises d’une chaise en me tirant par les cheveux et les oreilles, tout en me bombardant de questions incessantes sur la base de fausses accusations, affirmant que j’avais des liens étroits et réguliers avec des organisations extrémistes Sunnites et Wahhabites.

Bien que je sois sorti terrifié de cette nouvelle convocation, j’étais toujours déterminé à ne pas taire les souffrances de mon peuple et encore moins celles des autres prisonniers Ahwazis, j’ai donc continué à faire connaitre au monde le cas de ces six détenus membres de l’Association Al –Hiwar en utilisant les informations que me transmettaient les membres angoissés de leurs familles. Cela a contribué à générer des actions sans précédents de Solidarité au niveau International pour ces six hommes accusés à tort.

En Octobre 2012, je fus de nouveau convoqué par une autre branche locale du Ministère des Renseignements, une fois sur place des officiers de ce service, ont exigé de moi que j’espionne d’autres militants politiques Arabes Ahwazis, c’est la que j’ai réalisé que si je refusais je pourrais subir le même sort que les six membres de l’Association Al –Hiwar et être moi aussi tous comme eux condamné à mort. Peu de temps après avec mon épouse nous avons pris la décision de quitter clandestinement notre patrie Ahwazie bien aimée pour nous réfugier en Turquie afin de pouvoir bénéficier de statuts de réfugiés politiques. Et ce n’est que très récemment que nous avons pu obtenir des visas permettant de nous installer aux États Unis.

Autant que je le sache j’aimerais toujours vivre dans ma région de l’Al-Ahwaz mais je sais que si jamais je retourne en Iran, je devrais faire face à une arrestation immédiate, a une peine d’emprisonnement, à de nouvelles tortures ainsi qu’à une probable exécution, sur la base de fausse accusations forgées de toutes pièces par la police politique du régime ; telles-que : « Organisation d’actions en vue de porter atteinte à la sécurité intérieure », « Collaboration avec des agents de l’étranger » ou encore de « Diffusion de propagande contre le régime de la République Islamique d’Iran ».

A l’heure actuelle tous les membres de ma famille qui sont restés en Iran, se heurtent encore à des harcèlements, à des menaces ainsi qu’à des persécutions de toutes sortes, j’ai encore appris récemment que mon père et mon frère avaient été récemment convoqués pour des interrogatoires dans les mêmes bureaux du Ministère des Renseignements de la ville de Romhormoz où j’avais été précédemment menacé et interrogé, j’ai aussi également appris que frère avait été licencié de son poste d’ingénieur agronome à l’instigation la encore d’Agents du régime.

Mon histoire personnelle n’est pas rare ni un cas unique. Les autorités Iraniennes ont toujours considéré les Arabes Ahwazis comme des sous-hommes, comme des « Subversifs » et des « Criminels » potentiels en raison de nos seules origines ethniques Ahwazies et de nos désirs de liberté. La vie quotidienne des populations Ahazies est entachée par le racisme ouvert et ce sectarisme encouragé par l’actuel régime de Téhéran.

Un régime dont les représentants politiques décrivent communément les Arabes vivant dans la province du Khuzestân comme étant des « Barbares non civilisés » et un « Peuple de nomades aux pieds nus » et ou toute les personnes d’origine Arabe Ahwazie qui aspirent à plus d’égalité, de liberté, et de dignité sont considérées comme des Ennemis d’un Etat Iranien qui a transformé notre région de l’Al Ahwaz en une gigantesque prison et en un immense enfer Orwellien.

Je m’estime chanceux d’avoir échappé à tout cela. Je suis vivant et libre. Beaucoup de mes amis Arabes Ahwazis sont toujours en prison ou ont souffert de la potence. Et je n’oublie pas que tous ceux parmi nous qui ont survécus à ce régime Iranien n’ont un seul espoir : Nous rêvons seulement d’être libres.

Rahim Hamid Décembre 2015.

https://soliranparis.wordpress.com/2015/12/09/province-iranienne-du-khuzestan-temoignage-a-propos-des-violences-et-des-tortures-subies-par-les-prisonniers-politiques-arabes-ahwazis-par-rahim-hamid/


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