Dès le lendemain, le 19 mai, les médias locaux s’emparent de la nouvelle et s’empresse de reprendre le langage de la préfecture.
Ainsi le progrès s’interroge sur l’état toxicologique de la victime, LyonMag signal que la victime semblait irrationnelle, le parquet pointe son « hostilité », tous signalent qu’aucune arme n’a était utilisé de la part de la police, pourtant il y a un mort.
On constate ici les discours classiques de la police quand une personne décède entre leur main.
On pourra toujours s’interroger sur l’épidémie de mort de détresse respiratoire aux mains de la police, mais pas sur qu’on en déduise de lien avec la grippe aviaire...
Bref on aurait de quoi s’étonner mais l’IGPN a été saisie, on aura donc encore une fois des policiers blanchis.
Un chiffre de plus à la longue listes des personnes tué entre les mains de la police, pour la famille un drame.
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