L’attentat terroriste du 21 août 1401 [Note : 12 août 2022 selon le calendrier occidental] contre Salman Rushdie à New York n’est rien d’autre qu’une attaque contre la liberté d’expression en tant qu’élément essentiel des droits de l’homme.
Sur la base de la publication du roman satirique “Les versets sataniques” en octobre 1367 [Note : Septembre 1988 selon le calendrier occidental] par l’écrivain indo-anglais Salman Rushdie (né en 1326) [Note : 1947 selon de calendrier occidental], l’ayatollah Khomeiny, le grand chef politico-religieux et dictateur d’Iran, a émis une fatwa fasciste pour le tuer. Ce roman évoquait des parties de la jeunesse du prophète Mahomet, qui, du point de vue de Khomeiny, était considérée comme un crime blasphématoire (apostasie) contre l’unité de Dieu et de l’islam.
À cette époque, Salman Rushdie vivait en Angleterre et devait y vivre secrètement pendant longtemps, et après cela, il a été transféré en Amérique pour protéger sa vie.
Selon des rapports de médias internationaux ; Salman Rushdie a été attaqué avec plusieurs coups de couteau lors d’un discours dans la région de Chautauqua au nord de l’état de New-York. Après l’opération, il est toujours en vie grâce à un appareil de respiration artificielle, mais un œil et son foie sont gravement endommagés et les nerfs de son bras sont sectionnés.
La police a identifié Hadi Matar, 24 ans, originaire du Liban et résident du New Jersey, comme l’auteur de ce crime. On dit que Hadi Matar a pu entrer dans la salle de conférence avec une carte de journaliste. Il est actuellement en état d’arrestation.
Hadi Matar est membre ou partisan du « Hezbollah Liban » qui a exprimé sa solidarité avec l’État terroriste islamo-chiite en Iran. Il a également publié du matériel sur les réseaux sociaux en soutien aux fascistes “Gardiens de la révolution islamique”.
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