Dans leur stratégie déclarée d’arrivée à l’Elysée, ça fait longtemps que l’extrême droite française renie ou n’assume son passé (avec deux s = ss).
Déjà en 1992, dans "la lettre de Jean-marie le Pen", le petit Bruno Mégret préconisait d’éviter la période de 1939-1945 dont la collaboration car « certains de nos camarades n’ont pas fait, durant la Seconde Guerre mondiale, les choix des vainqueurs » !
Cette stratégie entriste et arriviste qui navigue entre droite libérale, illibéralisme, populisme zemmourriste, et extrême-droite ; se retrouve ces derniers jours au sein des torchons, des sites racistes et identitaires du nord de la fRance : : ne pas assumer publiquement les relations ou le passée nazi ( qui un fondateur, qui une inspiration, qui un membre de la famille, qui une imagerie et une symbolique...) !
Mais ces milicien-ne-s savant que loin des médias, en privé, ils/elles doivent entretenir cette flamme historique qui est à la fois chère à leurs yeux et cœurs mais aussi, vectrice de mobilisation radicale et d’inscription dans une internationale néo-fascistes et néo-nazie !
Nous serons toujours déterminé-e-s à les combattre par tous les moyens !
! No pasaran !
Mort aux néo-nazi-e-s et aux néo-fascistes !
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