Même à la vue des petits frères et de la mère d’Hadil, blessés, étendus, hébétés, sur le sol de leur misérable maison, personne n’est descendu dans les rues, personne n’a protesté.
Le jour où Hadil Aben a été tuée, « Yediot Aharonot » rapportait l’histoire de la chienne « Nelly » morte d’un arrêt cardiaque ...
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