A l’appel de SOS soutien aux Sans Papier, le préfet et son armée ont répondu présent.
Calais fut investie par les gardes-mobiles et les CRS aux endroits stratégiques.
Le préfet ridiculise l’armée face à une soixantaine de militants
Déploiement de forces, non pour stopper une association dont ils savent la taille mais pour interdire toute réunion entre militants et réfugiés.
Tous les points stratégiques furent étudiés, le CRA protégé par la compagnie 16, scindée à l’occasion. La grande crainte du pouvoir fut de voir les réfugiés afghans se mobiliser contre la destruction de leur camp. Mais les initiatives vers le port reçurent le même accueil.
A réfléchir pour l’avenir...
zetkin